Les rues de Chambery

Messages : 28 Date d'inscription : 21/08/2010

La nuit disparaissait peu à peu, déjà l'on pouvait apercevoir au loin, le soleil inonder les montagnes, dont les rayons semblaient laisser échapper une pluie d'or et d'argent sur leurs sommets encore enneigés. La rue s'éveillait peu à peu, les marchands, déjà achalandaient leur étals de produits en tout genre, vin, produits laitiers, bois, volaille...la vie allait bon train, certains riverains irrités par les cris des charretiers cherchant à avancer dans la rue encombrée, hurlaient à leur tour à leurs fenêtres...
Angélique-Rose, quand à elle, zigzaguait entre les charrettes, à la recherche d'une auberge, ne pensant qu'à s'installer, se reposer devant une tisane bien chaude...aux aurores, il ne faisait pas bien chaud, même en cette saison, l'humidité du matin y contribuant.
Enfin, ses désirs allaient devenir réalité...une enseigne gravée d'une chope de bière, se dessinait devant ses yeux. Ne perdant pas de temps, s'y dirigea.

Les rayons de soleil commençaient timidement à se montrer lorsqu'il arriva devant les portes de la ville. Un petit groupe de voyageurs et de marchands itinérants étaient devant les portes de la ville et discuté entre eux. Il passa à côté d'eux en les saluant de la tête puis entra dans la ville. Il prit une rue,cherchant un endroit où se reposer lorsqu'il s'arrêta,observant un spectacle qui s'offrer a ses yeux. Deux gamins et un homme était entrain de discuté ensemble. L'un des enfants était par terre en pleure,l'homme lui essaya de le consoler et derrière l'homme,le second gamin qui vidé la bourse de l'homme. Il souria en les regardant faire puis les gamins partirent ensemble,le second aidant faussement le premier à marcher. Il reprit son chemin lorsqu'il aperçut enfin l'enseigne d'une auberge. Il allait enfin pouvoir se reposer,boire et peut-être se nourrire. Il s'y dirigea et entra dans l'auberge.

Il entra dans la rue et sentit qu'on le suivez. Il ne se retourna pas mais s'arrêta et dit:

J'espère que vous avez pris bien soin de ma cabane,les gamins.

Une voix d'enfant,un garçon apparemment se fit entendre:

Ho oui messire Vagabond. On y a bien pris soin de votre cabane.

Il souria et finit par se retourner. Il y vit cinq enfants,trois garçons et deux filles. Il continua de sourire et sortit une petite bourse et l'envoya au garçon qui a parler:

Je le sais,sinon je ne vous aurez pas demander de le faire. Tenez,partagez vous ceci.

Puis il se retourna de nouveau et continua de nouveau son chemin.

Messages : 28 Date d'inscription : 21/08/2010

Venant de sortir de l'auberge, s'arrêta net au milieu de la rue. Ha ça! Pour y aller...elle y allait...encore fallait-il qu'elle sache où! Grande question du jour! Les charretiers dans la rue, grommelaient après elle...logique, elle leur barrait le passage. Mais elle s'en fichait. Dans l'instant, elle réfléchissait...finalement, ce fut son instinct qui la guida, vers elle ne savait là non plus quel endroit, tournant et retournant dans les ruelles adjacentes à la rue principale, ainsi durant de longues minutes.

Bien plus tard, après la première femme, il allait entrer chez lui lorsque un gamin se dirigea vers lui et lui dit:

Une autre femme seul se promène dans les rues, Vagabond.

Je lui répondit:

Je m'en occupe.

Il repartit aussitôt. Il finit par la retrouver dans une rue, il mit sa capuche pour cacher son visage et se mit discrètement à la suivre. L'observant puis se mit beaucoup moins discrètement à la suivre, attendant sa réaction.

Messages : 2 Date d'inscription : 31/10/2010

Marie-Isabelle Montferrat,toute jeune femme d'a peine 19 ans issue de la bonne bourgeoisie Niçoise avait quittée une nuit le giron famillial trop étouffant a son goût et fuyait un futur mariage arrangé.
Elle n'avait parlé a personne de peur que sa famille ne la retrouve trop facilement. Mais elle etait coquette et aimait belles robes et beaux jupons ainsi que les roses rouges

Elle portait l'une de ses plus belles robes a dentelle blanche et rose avec des manches legerement bouffantes. Ses cheveux avait la couleur des blés murs et ses yeux d'un bleu étrange aux reflets gris violet.

Arrivant enfin apres plusieurs heures de marche sans avoir parlé a qui que ce soit, a la grande ville,elle se mit a arpenter les rues,pour trouver un refuge. Elle vit que la ville commencait a se reveiller a l'heure ou elle ne désirait qu'une chose c'etait un bon lit et dormir

Elle trouva enfin une enseigne avec gravé une chope de biere et vit une belle dame qui apparamment desirait la meme chose. Elle resta quelque peu a l'ecart n'osant s'approcher

» Marché de Chambéry